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17 décembre 2009 4 17 /12 /décembre /2009 13:16
- Un bébé de neuf mois peut te suggérer d'aller te brosser les dents. Oui, oui.
L'autre jour, j'ai embrassé le Piti Gars après avoir mangé du fromage, et il m'a fait une grimace absolument sans ambiguïté.

- Si tu veux savoir si crier en même temps qu'un bébé le calme, j'ai la réponse. (J'ai bien dit crier avec, pas crier sur, bourreaux d'enfants.)
En fait pas du tout, il s'interrompt, te regarde pendant 30 secondes l'air effaré, comme si tu avais soudainement hérité d'une tête d'ornithorynque, et repart de plus belle (par contre, toi tu te sens mieux.)





Tendrement.
Mme Chat Prichetit.
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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 13:23
Il fallait que je parle de lui à un moment ou à un autre.
Mon enfance, le commencement de mes éclats de rire, de mes rêves, de mes sourires et de mes délires.
Steeve, mon meilleur ami d'enfance, l'amour de ma vie, mon jumeau, mon double, mon fantôme.

La première fois que je l'ai vu, j'avais 4 ans, 2ème années de maternelle, il étais nouveau, il venais d'arriver aux lilas, il venais du sud, il avait même l'accent et je passait mon temps à lui dire "c'est pas comme ça qu'il faut dire !"

La première fois qu'on a jouer ensemble, c'était un mardi, je m'en souviens très bien, j'étais cachée en dessous d'un tobogan et j'avais deux cartes dans les mains. Il jouait au ballon contre le mur tout seul à côté, et quand il m'a vu, il a balancer son ballon sur mes cartes. Quand elle sont tombé, il les as ramasser et m'as dis :"je t'échange mon ballon contre mes cartes" et j'ai répondu. "non, je te prête mes cartes, si tu joue au ballon avec moi".

Et ça a commencer.

Inséparable, jusqu'à ce qu'on nous sépare, de force. Oui, de force.

vers 8 ans, on a commencer à remplir une boite à souvenir,  on mettais tout nos trésor et nos secret. Et à 12ans, le 20 février, on l'a enterrer et on s'est dit "on l'ouvrira dans 10 ans !"
On a joué tout l'après midi dans le parc de pantin ce jour là, c'était un samedi.
Je dois l'ouvrir dans quelques mois.. toute seule..

Le lundi 12 avril 2004, juste avant d'aller en cours, il est partit faire une course. Ce jour là, il est passé dans une rue peu fréquentée et il s'est fait tabasser. Il est resté dans le coma jusqu'au 28 Avril où il est décédé.

une bande de rageux le haïssait. L'avais menacé plusieurs fois. Il me l'avais dit. C'est parce qu'il disait qu'il étais homo. Il s'en cachais pas, il étais très efféminer (et extrêmement beau aussi). Il l'a compris on devais avoir 14 ans je crois. Les garçons l'attirait.





Il me manque.




Nous avions cette relation si fusionnée, si passionnée, on pouvais pas passer plus de 5h sans se voir ou se parler. Il était tout pour moi. Et il me faisait rire comme personne n'a pu me faire rire jusque là.

Je me souviens de nos délire sur mylène farmer avec des écharpes en moumoute dans sa chambre, je me souviens de nos petits messages en primaires qu'on s'envoyait, je me souviens de nos histoires inventée et les choses qu'on faisait croire aux autres. Je me souviens des souris qu'on avais achetée et libérés dans le parc de pantin. Je me souviens de notre cachette, cet arbre dans ce parc où j'ai jamais pu retourner depuis qu'il n'est plus là. Je me souviens des fois ou il venais chez moi la nuit juste pour dormir avec moi et repartir avant que ma mère ne s'en rende compte. Je me souviens de la haine que ses parents et ses deux soeurs éprouvait à mon égard et encore maintenant. Je me souviens de son rire, de son sourire et de ses yeux si expressifs. Je me souviens le nombre de fois ou j'ai pleurer sous sa tante fait avec des draps à cause de mes parents. Je me souviens nos jeux qu'on avaient inventés ensemble. Je me souviens de nos tartelette aux pommes cannelles et des bonbons qu'on achetais. Je me souviens des vols qu'on faisait dans le magasin de jouet "Jocala" dans le rayon farces et attrapes. Je me souviens de nos batailles de gommes émiettés et de nos bataille de claque-doigts. Je me souviens de nos fausses disputes sur MSN et nos chapardages de doudou. Je me souviens de son doudou, sa peluche orange en forme d'étoile qui faisait un sourire. Ma préférence pour cette couleur vient de là de base. Cette couleur chaude me rappelle à quel point on étais bien juste lui et moi. C'est une couleur rassurante pour moi.

à toi, à jamais, pour toujours, mon Titi. Mon stupid'boy.


Tendrement.
Mme Chat Prichetit.
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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 13:17




















je crois que tout est dit.



































Tendrement.
Mme Chat Prichetit.
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7 novembre 2009 6 07 /11 /novembre /2009 19:44
Je m'attache aussi vite que je me lasse, je pose des étoiles tout plein dans les paumes que je croise et je me casse ensuite. J'aime qu'on me prenne par le sourire, et le reste, tant pis. Pas d'importance, les absents ont toujours tort, et les présents n'ont qu'à mal se tenir. Je m'ennuie devant l'étalage de mots sales, et tu vois, je n'ai jamais pitié, j'aime mieux partager mon goûter avec des gens qui ne passent pas leur vie à faire semblant, quitte à se cacher, au moins le faire pour de bon. Au placard ! Je pense qu'on a tous le droit de dire merde, cela dit, ça n'avance pas à grand chose. Recyclez-moi donc tout ça, ou alors zut.
Le lucky luke des émotions, l'orage en grand, j'aime pas les demi-mesures. Un grand huit au petit-déj, en plus du café-clope. J'aimerais te mordre dedans, je peux ?

A trois, je lâche.




ça fait comme des fourmis dans les jambes,
et un chat dans la gorge,
y a anguille sous roche.
C'est un cafard - à - homme.




J'ai la migraine comme un fil à linge tendu,
j'ai les yeux qui brûlent en silence,
et la bouche sèche comme un cul de canon,
j'ai un chat dans ma tête qui me déchire la mémoire.







J'enfermerai mes mots
dans le fond de mes pupilles
en espérant que peut-être
tu devineras...





Tendrement.
Mme Chat Prichetit.
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4 octobre 2009 7 04 /10 /octobre /2009 14:57
Une nuit qui commençais pourtant bien...

Déjà la journée, je l'ai passée avec ma petite soeur. On a passé dans l'ensemble une superbe journée. On a été mangé au Frog, court st emilion toute les deux, ensuite on s'est balader dans chatelet pour "du shopping", ensuite on est allé se posé au Starbuck des Halles. On a bien rigoler jusqu'au moment où elle m'a fait chier pendant 1h facile pour que je lui avance 200€ pour qu'elle s'achète un mini pc portable.
Il suffirai qu'elle travaille en cours, et qu'elle atteigne les 14 de moyenne pour en avoir un pour Noël... -_-

Ensuite, Jo, nous a rejoins, c'était chouette, ça faisait tellement longtemps que je l'avais pas vu, les deux dernière fois, il était un peu distant et tout mais là c'était vraiment bien, on a ris, on s'est fait des gros câlins.
Rebb est ensuite rentrer chez elle vers 18h environs, et avec Jo on a décider d'aller patienter à la frange en attendant ses deux amis. Ensuite, on est allé manger à côté de la frange, dans le super italien que j'adore. Et on est resté à la frange jusque 1H environs.
C'était génial la frange, comme avant que je tombe enceinte, j'ai danser avec Corv, Avec Laurent aussi, Avec Jo bien évidement et avec Alizée. J'ai revu Virgil que j'avais pas vu depuis la soirée Gay/Métal de Mai 2008, et d'autre gens que jetais contente de voir (Jet, Fana, Choupi, Nelly et j'en passe.)

Ensuite à commencer la catastrophe.. On a décider avec Jo et ses deux amis, (Audrey qui viens de Champagne, et Yukicorbeil-essonne) d'aller à la nuit blanche. Jetais donc dans la voiture avec Yuki, et Jo dans la voiture d'Audrey. Yuki a pris le GPS et on est partit devant. Manque de bol, le gps, il a planter quand Yuki s'est tromper de rue et il a jamais retrouver son chemin. 1h pour arriver au jardin du luxembourg à cause des sens interdit et sens unique qui ont pousser à chaque rue que l'on voulais prendre.
Une fois devant le jardin de Luxembourg, l'horreur, tellement de monde qu'impossible de se garer ou même d'entrer dans le jardin, on a laisser tomber et on est retourner vers chatelet, et c'est sur le chemin, qu'on perd la voiture qui nous suivait... Ne connaissant pas paris, ils se sont retrouver vers bastille. Énervé, Yuki a voulu se poser au Black dog (moi j'avais pas tellement le choix je précise, même si j'aime beaucoup le black dog).
Audrey et Jo se sont finalement rapprocher sans trop savoir comment et se sont posé à l'hôtel de ville car ils en avaient marre eux aussi.
2h du mat. On décide avec Yuki, une fois qu'il eut fini sa bière, d'aller les chercher (au moins pour rendre le GPS à Audrey.)
On s'est tous dis au revoir, et Yuki a voulu rentrer chez lui, tout comme moi. Il m'a déposé vers l'avenue Sebastopol et il est partit.
Et moi, vers 3h du mat, j'ai désespérément tourner pour trouver un taxi, ensuite épuisée, plus de batterie sur mon portable et mal partout j'ai décidé de me posée à une borne de Taxi place du chatelet.
Et c'est seulement après 2h30 d'attente que j'ai réussis à avoir un taxi... (4 taxi qui sont passé en 2h...)

Soirée de merde.


Tendrement et à bientôt.
Mme Chat Prichetit.
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2 octobre 2009 5 02 /10 /octobre /2009 21:17
La nuit dernière, j'ai encore rêvée de lui.

Non, ce n'est pas l'homme que j'aime.
C'est pour moi, quelqu'un de très cher à mon coeur.  Hugo étais pour moi, l'ami par excellence. Mais je n'ai pas été à la hauteur d'une amie pour lui, et c'est la raison pour laquelle il a couper tout contact avec moi depuis plus d'un an.

Il me manque, y'a pas à nier, il me manque à mort. Je crois qu'à part Steeve (j'en parlerai dans un autre article), personne ne me manque autant qu'il me manque.

Quand j'ai connu Hugo, c'était pour la fête de la musique en 2007. On s'est rapproché petit à petit, on discutais beaucoup, on partageait plein de chose et surtout on avais de bon délire ensemble. On se voyais souvent, il m'a souvent, très souvent, été là pour m'écouter. ça faisait à peine quelques mois que j'avais quitter Mick (ça aussi j'en parlerai plus loin), et il a été vraiment d'un soutient incomparable à personne d'autre.

J'ai aimer ce jeune homme, mais pas d'un amour qu'on voit partout, pas l'amour des jeunes couples, mais l'amour pour quelqu'un qui fera toujours partie de ma vie, quoi qu'il décide, l'amour pour quelqu'un qui ets à jamais un ami pour moi, un pilier très important bien qu'absent.

Nous somme sortie ensemble, quelques mois, je crois que c'est ce qui a commencer à détruire ce que l'on avais. Quand ça s'est fini, j'ai trop eu confiance en ce "ami pour toujours" et du coup, j'ai pas fait attention et j'étais trop dans mon monde pour me rendre compte qu'il s'éloignait, que je le faisait fuir petit à petit.

Et puis, y'a quelques mois, j'ai essayer de le recontacter, lui dire ce que je ressentais, qu'il pouvais revenir quand il le voulais.. mais il m'a clairement dit qu'il ne voulais plus rien à avoir à faire avec moi, que j'étais le passé et que j'avais pas ma place ni dans son présent, ni dans son futur. Mais je suis borné et idiote, et j'espère encore, et je pense même que cet espoir ne s'arrêtera jamais.

Pour preuve, j'ai rêver de lui encore cette nuit. J'ai rêver qu'il me téléphonais, qu'il me disait que c'était bête que l'on ne se parlais plus et qu'il voulais me voir, "demain, le 21, j'aimerai te voir." "demain le 21 ?" "oui, on est le 20 aujourd'hui", j'ai pas compris sur le coup, puis je me suis réveillée, et j'ai été tellement déçue...
j'ai regarder mon portable, j'ai espérée, mais rien. Tristesse inutile quand tu nous tiens...
Mais j'ai pas compris ce chiffre.. cette date.. "21" je sais même pas de quel mois. Mais bon, ce n'étais qu'un rêve après tout.


Tendrement et à bientôt.
Mme Chat Prichetit.
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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 13:44
Il y a quelques année, j'avais écrit un article sur mon père..
Je le met ici, et je vais essayer d'approfondir la chose.



"Mon père et moi on se parle pas.
On est un peu comme deux inconnus, qui auraient fait connaissance il y a très très longtemps mais qui se seraient oubliés depuis...

Mon père il connaît pas un dixième des gens de qui je voudrais lui parler, parce que je crois que mon père il s'en fou de tout ça...

Lui et moi on se comprend pas. On s'aime de se détester et je crois même qu'on se déteste de pas s'aimer comme il faudrait...

Quand j'étais petite, mon père c'était mon super héros. Mais au fil des années j'ai fini par voir au travers de son masque de super rien du tout et j'ai vu un homme. Un homme qui comme chacun a ses vices et ses faiblesses... Et PAF! Il est mort le héros.

Mon père et moi on a toujours été nuls pour se dire les choses qu'il y a entre nous. Alors on se parle pas... Juste le temp qu'il fait, mes formation et autre truck pour mon futur boulot, les corvées de la maison...
Pourtant mon père y'a tellement de choses que je voudrais lui dire mais que j'arrive pas. Du coup j'me raconte tout ça dans ma tête. Je joue l'étonnée, la colère, le rire comme je voudrais qu'il fasse...
Parce que mon père je voudrais lui dire que malgré tout je suis heureuse.
Malgré cette putain d'enfance et malgré mes angoisses qui me réveillent parfois jusque dans la nuit... Malgré tout ce que j'ai pas eu parce qu'il a pas réussit à me le donner et malgré tout ce que de lui j'ai pu rejeter, je suis heureuse...
Parce que j'ai trouvé mon bonheur manquant. Toute seule. Après beaucoup de temps.
Mon père je voudrais aussi lui dire que je lui en veut pas. Que j'ai beau l'avoir beaucoup détesté, j'lai toujours énormément aimé...

Mais aussi tout ces gens... Ceux que j'ai rencontrés, ceux de qui enfin j'me rapproche... Il le sait pas tout ça... Malgré que ça soit si important pour moi, malgré le bien fou que ça me fait il le sait pas tout ça...
Mon père j'voudrais tout lui raconter, mes journées et mes pensées dans les moindres détails... Lui confier mes peurs, mes rages et mes chagrins pour qu'il les envoie au loin. Qu'il me rassure... Mais mon père il sait pas rassurer. Il a trop peur de la vie lui aussi. Alors tout ça j'le dit pas.
Ce silence là, c'est tout ce que je partage avec lui...
On se dit rien mais on en pense pas moins... On se dit rien mais on devine les choses...

Mon père c'est un type fantastique. Peut-être trop Alors il se gâche... A mes yeux il se gâche et se cache derrière tout ça... Derrière tout les trucs méchants et cons qu'il peut dire gratuitement...Il a des idées à la con et il est dur avec moi...
Il veut que je réussisse ma vie. Moi aussi mais il me fou une putain de pression sur les épaules... Et moi je veux pas.
C'est trop dur tout ça...

Mon père peut-être qu'un jour je lui dirais tout ça. Mais ce silence là c'est tout ce qui nous unis, parfois je crois bien...

Peut-être qu'un jour je lui dirais tout. Toute ma vie et tout ce que je pense de la sienne... A quel point je l'aime malgré que j'ai pitié...

Je sais bien que c'est méchant et dur tout ce que je dis là. Mais avec mon père on parle pas...
Alors cette dureté je la garde pour moi, dans mon coeur. Et parfois j'me demande s'il est pas en pierre. j'ai peur qu'il casse tellement qu'il est lourd et dur... Et ça me terrorise parfois tout ça...Et si je vivais trop grand et trop fort? Et si je le cassait ?

J'me demande parce que, qu'est ce que je pourrais bien faire d'un coeur en miette moi?

Parce que tout ça c'est important pour moi... Ça prend parfois trop de place dans mon coeur et dans ma tête, alors tout ces mots, toutes ces sales pensées j'les laisse en vrac ici... Dépotoir à mots cet endroit..."








En relisant ces mots, facile 4 ans plus tard, je me dis que rien à changé.
Mon père et moi, on ne se parle toujours pas, Il ne m'appelle jamais juste pour me demander si je vais bien, si tout vas bien avec mon petit ami, si je n'ai pas de soucis particulier que j'aurai envie de lui parler. Il m'appelle uniquement quand il a besoin, pour me stresser sur des choses que j'aurai oublier de faire, ou des choses qu'il ne faut absolument pas que j'oublie.
Il ne m'a jamais appeler par exemple quand je dois commencer quelque chose d'important, juste pour m'encourager, me dire que tout se passera bien.
Il ne me dis jamais qu'il pense à moi, qu'il est fier de moi. Parce Que ce n'est pas le cas tout simplement, pour lui, tant que j'aurai pas mon diplôme, un boulot stable, je ne serais pas digne qu'il sois fier de moi.
Quand j'ai l'espoir de quelque chose qui pourrait être bien pour moi, il le réduit sans cesse à néant. Comme le boulot dans une école primaire que j'ai trouvée récemment. Il m'a dis "cool, mais tu va pas gagner ta vie avec ça."
Il me félicite jamais quand je suis heureuse d'avoir "réussis" quelque chose. Du coup, je me sent nulle sans cesse. Je me vois quand ça à travers ses yeux..
Mon père est quelqu'un de très angoissé, stressé, c'est une maladie pour lui, et il le rejette sur ma petite soeur et moi sans cesse. Du coup, quand on est en sa présence ou au téléphone avec lui, on est pareil, on angoisse, on stresse et on arrive pas à s'en débarrasser avant au moins quelque heure après l'avoir quitter ou avoir raccrocher.

Il ne m'a même pas appelée pour m'encourager le jour ou je lui ai envoyer un sms pour lui dire que j'allais accoucher... Il m'a juste dis "super, tu me prévient quand il est né que je vienne le voir." et quand il est venu, il m'a stresser juste à cause d'un horaire de visite...

J'espère juste que le jour ou j'aurai une vie stable, ça changera, et qu'il me dira pour la première fois de ma vie, qu'il est fier de moi.


Tendrement,
Mme Chat Prichetit.

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29 septembre 2009 2 29 /09 /septembre /2009 13:26
Avant que je tombe enceinte, quand on me demandais "quel étais le plus beau jour de ta vie ?" je répondais sans hésiter, la naissance de ma petite soeur.
Nous avons 7ans de différence, de mère différente, elle a toujours eu besoin de moi, et d'une certaine façon j'ai aussi toujours eu besoin d'elle.

Elle rentre dans l'adolescence, et elle commence à penser au garçon. Elle me fait rire quand elle me raconte ses histoires, mais elle n'est pas libre de ses mouvements. D'accord elle est jeune, mais es ce une raison pour l'enfermer ? l'empêcher de prendre le métro toute seule ou d'aller voir des copines sans devoir rassurer sa mère toute les 10mn ?

ça me dépasse et surtout ça m'inquiète. J'ai pris la décision, de la prendre sous mon aile à partir du moment ou j'aurai mon appartement. Cela ne veut pas dire qu'elle va vivre avec moi hein, juste qu'elle aura la clef de chez moi, le droit d'y aller quand bon lui semble (avec des limites, demander si c'est possible avant bien entendu.)
Quand je ne serais pas chez moi (ni mon fils), elle aura le droit d'y inviter des amis avec la condition de pas détruire l'appartement évidement. Mais j'ai confiance en elle, contrairement à sa mère, je sais que c'est une jeune fille très soigneuse et qu'elle a un caractère qui me permet d'affirmer qu'elle peut être responsable et autoritaire avec ses amis.

J'ai envie qu'elle ai un endroit pour se réfugier, se sentir bien, en sécurité et surtout pas surveillée, un endroit ou elle pourrais se sentir libre de temps en temps. Et à cet âge là, c'est ce dont on a besoin.

Moi même, à son âge, j'avais beaucoup plus (voir un peu trop) de liberté, tellement que ma mère ne remarquais parfois pas que j'étais dans ma chambre.
J'étais un peu trop seule toute la journée. Ma soeur, elle, c'est tout le contraire, jusque l'année dernière, elle avait une baby-sitter à plein temps !!

Elle et moi, n'avons pas eu du tout la même éducation, du coup, nous sommes très différente, mais ça ne nous empêche pas d'être très proche l'une de l'autre.

Je ne peux pas dire que je suis très proche de mes parents. (j'en parlerai dans un autre article), mais ce que je sais, c'est que j'ai vraiment envie d'être très proche de ma petite soeur, car je sais qu'elle a besoin d'un pilier d'aide, de soutien et surtout de se sentir vivante et aimée. Et je suis persuadée qu'elle ne ressent ça à aucun moment quand elle est chez sa maman, et pire encore avec mon père.


Tendrement,
Mme Chat Prichetit.
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 11:46
Une motivation, une vrai. Après des années de dur labeur (bon ok j'exagère un peu) pour trouver une formation dans la petite enfance, voilà que tout à fait par hasard, j'en trouve une sans besoin de test, sans besoin de pré-selection...
Un bonheur en boite !

J'ai très longtemps chercher pour un CAP petite enfance, j'ai envoyer des CV + motiv à tout les lycées, écoles, Greta et autre centre de formation qui le faisait sur paris.
J'ai, pour la moitié reçu aucun réponse, j'ai eu un test de pré-selection. (15 de pris pour 500 qui se présente.) de la merde en boite quoi. Et les autres, quand je les rappelait il me disait, "envoyer votre CV" "déjà fait" "ben faut attendre notre courrier".. j'attends encore, presque 1ans après. Faut pas déconner.

Du coup, je me suis tourner vers des petits boulots de babysitting pour combler mes temps libre. Hier je suis donc allée à l'agence, elle me faisait remplir des papiers, m'expliquaient le fonctionnement de la société etc.. et en me donnant les coordonnées de la première maman, je lui expliquais à quel point j'avais eu du mal à trouver un CAP petite enfance..
Et là, toute sourire, elle me dis le plus calmement du monde :
- "ah bon ? vous voulez faire un CAP petite enfance ? mais vous savez, ici on le fait. Nous avons une classe pour 15personnes, et nous n'en avons que 10. Je peux en parler à mon patron si vous le souhaiter et vous commencerez en mi octobre !"
- ...*sans voie*... *reprend ses esprits* vous savez que vous êtes en train de raviver ma flamme d'espoir ?

Pour l'heure je suis heureuse, pleine d'espoir forcement et je n'attend que l'appel de son patron.
Il ne me manquera plus qu'un appartement et une garde pour Mister Chat Teigne (Mon fils) et je serais au 7ème ciel.


Tendrement,
Mme Chat Prichetit.
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 01:44
Bonjour,

Je me présente, Mme Chat Prichetit. Vous ne me connaissez pas, et je ne vous connais pas. D'ailleurs, c'est mieux comme ça.

Ce blog n'a aucun but et encore moins celui de plaire. Ce Blog est juste un blog égoïste en réalité.

Je ne suis pas quelqu'un qui sait écrire, pour preuve, j'ai souvent du mal à me présenter et encore plus à m'exprimer.
J'ai tout autant du mal avec l'orthographe. C'est peut être pour cette raison que j'ai énormément de mal à accepter que l'on me parle en SMS ou en Abréger. Je trouve cela scandaleux que des gens s'amuse à écrire avec des fautes volontaires alors que des personnes comme moi ont tellement de difficultés en temps normal à écrire sans aucune fautes d'orthographe. Et zut de flute, ce que j'aimerai tellement avoir une orthographe correct...
Du coup, je profite pour remercier les gens qui me corrigent sur cet outil sympathique qu'est MSN (entre autre).

Comme je disait, je ne suis pas quelqu'un qui a l'habitude d'écrire, mais je me dis, qu'écrire comme ça dans le vide juste ce qu'il se passe dans ma tête, ne peux que me faire du bien.
C'est pourquoi j'ai décidée de le commencer.

J'espère que j'écrirais souvent. Ma motivation etant comparable à un ballon, une fois lancée dans une idée, elle gonfle, gonfle, gonfle.. et au fil du temps elle diminue petit à petit et je pense que c'est valable pour une majorité de chose que j'ai dans ma vie. (Pas tout hein ! faut pas exagérer.)
Donc je suis là, avec mon premier article sans queue ni tête à vouloir commencer quelque chose tout aussi incongrue que sans interet (sauf pour moi).

Pour simplifier ma petite personne, on dira que je suis une jeune femme entre 20 et 30 ans. Une jeune maman d'un petit garçon de moins d'un an. Pas vraiment de situation stable pour le moment mais avec plein de rêves et d'envies. Une jeune femme banale quoi !


Tendrement et à bientôt.
Mme Chat Prichetit.


PS : J'adore le correcteur d'orthographe de ce blog. Adopté.
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